TotalEnergies investit considérablement dans l'énergie éolienne dans le cadre de son engagement à atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. TotalEnergies vise à produire environ 50 % de son énergie sous forme d'électricité bas carbone d'ici 2050, avec pour objectif de développer environ 400 GW de capacité renouvelable brute.
TotalEnergies dispose d'un programme de R&D Éolien robuste, avec plus de 13 GW de projets en développement et en construction. Ces projets sont répartis dans diverses régions, notamment en France au sud de la Bretagne et en Méditerranée mais aussi en Allemagne, le Royaume-Uni, la Norvège et les États-Unis.
La durabilité et la rentabilité à long terme des actifs éoliens de l'entreprise peuvent être affectées par le changement climatique, et il est donc nécessaire d'évaluer les risques associés. Le changement climatique peut avoir un impact à la fois sur la ressource mais aussi sur les aspects opérationnels de la production éolienne.
Le changement climatique peut modifier les régimes et les vitesses du vent, ce qui affecte directement la production d'énergie éolienne. Certaines régions peuvent connaître une augmentation des vitesses du vent, augmentant ainsi la production d'énergie, tandis que d'autres peuvent voir une diminution dans la ressource disponible. Par exemple, les changements futurs des vitesses du vent entre l'Europe du Nord et la Méditerranée devraient varier en raison des différences dans les régimes de circulation atmosphérique et les influences climatiques régionales. En effet, en Europe du Nord, les projections indiquent une augmentation des vitesses du vent, en particulier pendant les mois d'hiver. Cela est lié au déplacement vers le pôle du courant-jet de l'Atlantique Nord, qui peut renforcer les vents d'ouest dans la région. Cette augmentation des vitesses du vent pourrait potentiellement s'accompagner d'une augmentation de la fréquence et de l'intensité des tempêtes dans des zones comme les îles Britanniques et certaines parties du nord-ouest de l'Europe. En revanche, la région méditerranéenne devrait connaître une baisse des vitesses du vent. Cette diminution est associée à une intensification de la circulation anticyclonique, ce qui se traduit par des conditions plus stables et moins venteuses.
Ces différences régionales soulignent la nature complexe des impacts du changement climatique sur les régimes de vent. Dans ce contexte, nous recherchons un étudiant motivé, intéressé par la transition énergétique, pour travailler sur la compréhension et l'évaluation des changements à long terme de la vitesse du vent et de sa variabilité décennale en Europe en lien avec les régimes de circulation à grande échelle tels que l'Oscillation Nord-Atlantique.
Dans le cadre de sa politique de diversité, TotalEnergies examine toutes les candidatures, y compris celles des personnes handicapées, à qualifications égales.
En tant que stagiaire sur l' Impact du changement climatique sur la variabilité décennale de la vitesse du vent en Europe : implications sur le développement de l'énergie éolienne H/F, , vos missions seront :
Vous évoluerez au sein d'une équipe de professionnels confirmés et auprès d'un tuteur-coach, le référent de votre futur métier. Un accompagnement individualisé vous permettra de favoriser votre autonomie et de vous mener à votre diplôme !
Actuellement en école d'ingénieur ou en master dans le domaine du climat, des sciences de l'environnement, des énergies renouvelables, de la météorologie ou dans un domaine similaire, vous recherchez un stage de fin d'études de 6 mois à partir de mars 2025 ?
Vous êtes à l'aise avec la bureautique et connaissez la suite Office ? Vous utiliserez notamment Excel, Word et Powerpoint. Vous êtes familier de Python, R et Linux ?
Vous êtes autonome, rigoureux et avez l'esprit d'équipe ? Vous savez prendre des initiatives ?
Une maîtrise professionnelle de l'anglais sera indispensable pour ce poste. De bonnes compétences rédactionnelles seraient un plus.
Alors n'attendez plus, postulez pour rejoindre notre équipe !
Ces entreprises recrutent aussi au poste de “Recherche environnementale et énergétique”.
La Défense