Avant dernière d’une grande fratrie, Hélène apprend tôt à transformer à son goût les vêtements de ses ainés. Elle aime depuis toujours chiner dans les vide-greniers.
Hélène travaille 10 ans en tant que directrice de clientèle dans l’évènementiel, où elle commercialise entre autres de l’affichage « spectaculaire ». Constatant que rien n’existe en France pour recycler, ou mieux encore transformer les toiles publicitaires géantes, alors que cela se fait ailleurs dans le monde ; et animée par un grand besoin de changer d’air, elle quitte Carat en 2004.
Elle part (en scooter) à la rencontre d’ateliers de maroquinerie en région parisienne, avec des bouts de toiles de pub sous le bras. Hélène est tout de suite séduite par la relation de proximité nouée avec un premier atelier de confection, et par la première pièce, unique, sortie des mains d’un artisan maroquinier.
Elle lance bilum fin 2005.