Test de pureté : êtes-vous un/une collègue angélique ou diabolique ?
Aug 01, 2024
4 mins
Journaliste chez Welcome to the Jungle
Journaliste - Welcome to the Jungle
Journaliste chez Welcome to the Jungle
Allongé sur la plage, vous n’arrivez pas à vous détendre. La petite voix dans votre tête vous remémore tous les coups bas que vous avez infligés à vos collègues par maladresse, rébellion personnelle ou bien juste pour vous faciliter la vie, comme ne pas nettoyer la machine à café par exemple. Et si tous ces petits actes vous faisaient devenir persona non grata au bureau ? Vous voilà en hésitation : êtes-vous un collègue angélique ou diabolique ? On vous invite à compter vos points. Qui sait, vous pourriez prendre de bonnes résolutions pour la rentrée !
Avez-vous déjà nettoyé la machine à café du bureau, même quand il n’y avait personne autour de vous ? Votre altruisme nous impressionne, + 1 point.
Vous répondez chaque lundi au moment où l’on vous demande comment vous allez, « comme un lundi ». -3 points pour la lassitude occasionnée envers vos collègues.
Vous croisez un collègue dans la rue. L’envie de passer votre chemin résiste mal à votre politesse raffinée. Vous lui adressez un sourire poli. Collègue un jour, collègue toujours : + 1 point pour la sociabilité.
Vous vous plaignez toujours des retards de métro au bureau? -1 point, arrêtez de prendre vos collègues pour des agents de la RATP, ils ne peuvent rien y faire.
Vous utilisez régulièrement l’expression « Je reviendrai vers toi »… et ne revenez jamais dessus ? C’est -2 points.
Avez-vous déjà mis des collègues en copie du mail « au cas où cela les intéresserait » ? Sachez que ce mail inintéressant qui va moisir dans nos boites mail tue des bébés pandas roux. Vous n’avez donc aucune conscience écologique ? -2 points.
Avez-vous déjà laissé la place de l’open space près de la fenêtre à votre collègue parce que vous savez que c’est sa préférée ? +1 point, qui a dit que la romance était morte ?
Vous n’aimez pas Slack et vous le faites savoir à tout le monde ? Ok boomer, -1 point.
Vous utilisez la phrase « les étudiants d’aujourd’hui sont les talents de demain » pour qualifier vos stagiaires ? +3 points, si seulement vous étiez plus nombreux …
Vous utilisez la phrase « Comment était ton week-end ? », seulement dans le but de pouvoir vous vanter du vôtre ? -1 point, personne ne veut savoir que vous avez passé deux jours dans un petit vignoble ardéchois charmant.
Vous n’hésitez pas à stopper la réunion pour prendre votre BeReal ? +1 point, votre implication dans vos projets et votre constance dans les résultats sont un modèle de réussite pour vos collègues. Mais quand même… -2 pour votre manque de concentration.
Vous êtes à l’origine de la création d’un comité qui défend l’instauration de la semaine de 4 jours dans votre entreprise ? +3 points (envisagez de postuler à Welcome to the Jungle !)
Vous piquez une crise et montez voir les RH quand la panière de fruits ou les viennoiseries ne sont pas remplies en temps et en heure. Vous vous faites bananer et perdez en plus 2 points.
Vous militez contre la climatisation abusive du bureau en portant un short, et ce malgré le dress code strict de l’entreprise ? +2 points, tous les héros et héroïnes ne portent pas de cape.
Vous partagez les succès individuels lors de vos entretiens annuels au nom de l’équipe. Quelle abnégation ! +2 points de pureté.
En négociation de salaire, vous n’hésitez pas à mentir et doper votre précédente fiche de paie ? -1 pour cette ruse de Sioux.
Vous changez d’étage pour dégommer les toilettes loin de vos collègues d’open space. Préserver cette image de pureté vous coûte +1 point. Bonus d’un point si vous nettoyez derrière vous.
Vous ajoutez un petit émoji « cœur enflammé » à chaque fois que votre collègue poste un message sur Slack. + 3 points de karma.
En dej, vous prétextez une réunion urgente pour filer en douce et laisser Timatéo le jeune stagiaire régler la douloureuse note (et prouver sa détermination) ? -5 points de pureté, bravo vous gagnez votre ticket pour l’enfer.
Pour la cagnotte de pot de départ de Gwendal, vous claquez une bise au moment des remerciements alors que vous n’avez pas mis un centime dans la tirelire. D’ailleurs vous découvrez le cadeau collectif en même temps que ledit feu-collègue. Les temps sont durs pour tout le monde, mais c’est quand même -1 point.
Vous avez à peine hésité 2 secondes avant d’envoyer un mail à votre collègue Sandrine qui est en congés, certainement au bord d’une plage en Corse. Même si vous avez précisé : « À lire à ton retour », vous perdez -2 points.
En réunion, vous vous auto-proclamez bâton de parole et prenez toujours la peine de souligner le manterrupting ou le mansplaining quand votre collègue masculin essaye d’expliquer à une femme son propre métier. +5 points
Vous n’utilisez que des termes de personnes imbuvables : anglicismes à tout va, mots incompréhensibles ou trop techniques. -2 points, vous perdez tout le monde.
Vous prenez le temps d’encourager vos collègues avant une présentation qui les stresse ou de les féliciter après ? Vous avez fait tomber votre auréole. +2 points.
Après l’afterwork au cours duquel vous avez déjà dû régler les 5 (ou 8 ?) Sex on the beach de votre collègue Marcellin trop ravagé pour se souvenir son code de carte bleue, vous avez aussi eu la courtoisie de ne pas lui remémorer ses exactions de la veille. + 3 points de pureté pour cette amnésie volontaire.
L’heure du verdicte à sonné ! Avant de découvrir vos résultats, n’oubliez pas que la prise de conscience est la première étape pour changer de comportement. N’hésitez donc pas à partager ce test à vos meilleurs ennemis préférés du bureau, de quoi les faire cogiter sur leur serviette de plage.
Au-dessus de 10 points : vous êtes le dieu ou la déesse de l’open space, tout le monde veut une place à vos côtés.
En dessous de 10 points : vous êtes le cauchemar de tous, il parait même que Baba vous demanderait des conseils sur comment être autant détestable.
En négatif : considérez une carrière dans le cinéma, vous avez de plus grandes chances de finir antagoniste dans le prochain blockbuster que d’être employé du mois.
Article écrit par Camille Perdriaud, Manuel Avenel, édité par Gabrielle Predko, photographie par Thomas Decamps
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