Alban, François, Maxime et Thibaud, les quatre co-fondateurs de VoltR se lancent dans l’aventure VoltR avec une conviction : l'entrepreneuriat peut contribuer à la transition énergétique et écologique. Leur objectif : construire une filière industrielle européenne autour de la seconde vie des batteries.
Alban a l'idée de réemployer des batteries de macbooks
Début de l'étude de faisabilité technique et économique
Pari réussi, la société VoltR est créée
Inauguration de la 1ere ligne de production
Clôture de la levée de fonds d'amorçage de 4 M€
Arrivée de notre 30ème recrue
La production d’une batterie lithium neuve à un impact environnemental non négligeable (environ 150 kg CO2e /kW) et la quasi totalité de l'approvisionnement européen est importé, il leur semble dès lors inconcevable de laisser des milliers de tonnes de batteries partir au recyclage alors qu’elles peuvent avoir une seconde vie.
Leur discours est engagé et passionné car ils aiment ce qu'ils font et ils sont animés par la volonté de structurer une filière européenne de seconde vie des batteries lithium afin de limiter au maximum leur impact environnemental. VoltR souhaite exploiter tout le potentiel des gisements de batteries dites “usagées” via la création d’une économie circulaire de la batterie la plus vertueuse possible pour l’environnement et leur territoire.
VoltR a un fonctionnement qui s’inspire de ce qu’on appelle les entreprises libérées. Nous avons une organisation horizontale qui repose sur la confiance à priori, le partage, la transparence et l’absence de hiérarchie pyramidale. Ce mode de gouvernance est très dimensionnant au quotidien et confère beaucoup d’autonomie à tous les membres de l’équipe. Le partage de certaines valeurs est cependant une condition nécessaire pour le bon fonctionnement de mode d'organisation.
Nous co-construisons nos objectifs et faisons ensuite confiance à nos collègues pour contribuer de la meilleure façon possible à la performance collective pour les atteindre.
Faire ce qu’on dit et dire ce qu’on fait. C'est simple, mais ce n'est pas si fréquent et chez VoltR on y attache beaucoup d'importance. Nous respectons nos engagements et ne cherchons pas à survendre ce que nous savons faire.
Nous sommes ambitieux mais sommes conscients de nos limites et de la complexité qu’implique la transition énergétique et écologique. Si le chemin parcouru est une fierté, nous nous concentrons sur celui qui reste à parcourir.
La gouvernance partagée implique plus d’autonomie et plus de liberté, mais elle implique également plus de responsabilités, celles de faire des choix car personne ne le fera à notre place, puis d'en assumer les conséquences.
Pas de rétention d’information chez VoltR, car c’est le début des luttes de pouvoir qui paralysent le collectif et entraînent de la frustration individuelle.
Nous pensons que le management et la responsabilité n’impliquent pas le contrôle sur un sujet, un périmètre donnée
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