Années 1945-50 : l’Office national d’immigration (ONI) devient un opérateur-clé de la reconstruction de la France.
De 1948 à 1950, les activités de l’ONI sont de moins en moins fréquentes. Ce ralentissement d’activités est causé par les prévisions économiques revues à la baisse ainsi que la diminution des ressources et des moyens d’action. Il faut attendre 1951 pour que l’Office obtienne de nouvelles ressources grâce à une taxe inédite à verser lors du renouvellement des cartes de travail.
Années 1960 : l’Europe commence à s’intéresser aux activités de l’ONI.
Près de six millions d’étrangers sont passés par l’ONI de 1945 à 1975.
Années 1970 – 1980 : l’ONI revoit ses objectifs en pleine crise économique.
Entre 1990 et 2000 : l’ONI devient l’Office des migrations internationales (OMI).
En 2005, l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations (ANAEM) est créée de la fusion de l’OMI et du Service d’aide aux émigrants (SSAE).
En 2009, un opérateur unique pour l’accueil, l’accompagnement et l’intégration des étrangers est créé : l’OFII succède à l’ANAEM.