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visioconférences, dont 388 par moyens classifiés, ont été organisées par les moyens fournis par l'OSIIC au profit des très hautes autorités en 2020, contre 121 (47 classifiées) en 2019.
La création de l’OSIIC, issue des réflexions conduites par le SGDSN en 2019, a été constituée par le rassemblement du centre de transmissions gouvernemental (CTG) et de la sous-direction numérique (SDN) de l’ANSSI.
Cette fusion vise à offrir un gain de lisibilité et d’efficacité, et à permettre la mise en œuvre de synergies utiles, dans chacune des trois missions principales que se partageaient ces deux structures antérieures et qui sont désormais reprises par l’OSIIC. Cette consolidation a reposé en premier lieu sur le regroupement des équipes sur un site unique et sur un important effort de recrutement. Ces recrutements ont servi à compenser certains départs liés à la fusion des deux structures et surtout à doter l’OSIIC des fonctions de soutien (ressources humaines de proximité, communication interne, suivi budgétaire) qui lui manquaient initialement.
visioconférences, dont 388 par moyens classifiés, ont été organisées par les moyens fournis par l'OSIIC au profit des très hautes autorités en 2020, contre 121 (47 classifiées) en 2019.
c’est le nombre d’équipements OSIRIS & HORUS déployés au 31 décembre 2021.
c’est le nombre de voyages officiels réalisés en 2021 par l’équipe COMTHAIE (communication des très hautes autorités de l’État).
c’est le nombre d’équivalant temps plein (ETP) mobilisé pour le programme COMGOUV-NG.
c'est le budget de la première année exercice de l'OSIIC.
c'est le nombre de terminaux Neo2 déployés en six mois pour les forces de sécurités intérieur (police et gendarmerie)
L’activité de l'OSIIC s'est structurée au fil des dernières mois autour de trois axes d’effort majeurs : la réponse à des besoins opérationnels particulièrement prégnants, la poursuite de la consolidation de l’opérateur, et enfin la conduite de chantiers majeurs, pierres angulaires d’une offre de services rénovée. Il a ainsi déployé pour la première fois les outils de pilotage stratégique et budgétaire élaborés à cette occasion, tout en renforçant ses moyens humains et en développant ses fonctions de soutien interne. L’opérateur à conduit des ajustements de son organisation, tirant le bilan de ses premiers mois de fonctionnement, selon trois axes principaux : une refonte complète de son organisation logistique ; une adaptation de son organisation pour le pilotage de projets numériques ; une amélioration des structures et processus mis en place pour le traitement des demandes des bénéficiaires.
Les valeurs de l’OSIIC rejoignent tous les principes (moraux, sociétaux, éthiques) qui guident son fonctionnement ainsi que le comportement quotidien de chacun de ses personnels. Ces valeurs sont bien plus que des mots, elles représentent des axes clés à suivre pour donner de la cohérence en interne et en externe à son organisation. Ce sont de véritables repères sur lesquels l'opérateur se fonde et capitalise pour évoluer et prendre les bonnes orientations stratégiques.
Ces valeurs concourent à définir les actions et les comportements attendus au quotidien en son sein. Ainsi, elles sont un accélérateur de développement très efficace dans le contexte de conduite du changement.
Les enjeux et les besoins auxquels doit répondre l’OSIIC n’ont pas leur équivalent dans le paysage numérique usuel, car ils répondent à des missions étatiques qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Les solutions qu’il conçoit et met en oeuvre pour y répondre sont donc uniques. Ses personnels doivent savoir sortir des sentiers battus, pour concevoir des solutions innovantes, répondant à des contraintes exceptionnelles de sécurité et de fiabilité, dans des contextes d’emploi parfois très particuliers. Cet esprit pionnier se retrouve naturellement dans toutes les dimensions du fonctionnement de l’OSIIC, structure nouvellement créée qui doit savoir inventer ou réinventer ses processus, ses méthodes et ses orientations techniques.
La complexité des missions de l’OSIIC et l’importance des enjeux qui les sous-tendent nécessitent des compétences très variées. La diversité d’origine et de parcours de ses personnels, civils et militaires, est la force la plus fondamentale de l’OSIIC. L’esprit d’équipe qui les anime est indispensable à la mobilisation de ces expertises et savoir-faire très complémentaires.
Travailler pour les plus hautes autorités de l’Etat implique d’intégrer le sens du service et de la satisfaction de nos utilisateurs, qui sont évidemment exigeants. Au sein de l’OSIIC, chaque contexte d’intervention et de déploiement est unique, et chaque mission vise la pleine satisfaction de l’autorité qui la demande.